Chapelle Sainte-Victoire

APTÊME DE Mrpantin Le 20/03/1459

J'écoutais les mains jointe, pieusement, l'aire heureux, heureux je l'étais!.. j'aimais cette histoire!..

Messire Aurae le futur Parrain de notre Ami Mrpantin, a sut nous lire se passage du livre des vertus que j'aime assez il faut dire!.. Il est vrais que nous sommes enchaînés à la matière, soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers notre très haut, l’Esprit Parfait et Éternel . Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."
Voila pourquoi nous sommes devenus les enfants de Dieu..Car nous avions beaucoup d'Amour a donner..Quoi de plus beau qu'une belle Amitié, qu'un belle Amour, rien, rien ne les vaux, aimons nous les uns aux autres!..Voila le secret, voila le message que Dieu a voulu nous faire comprendre, le secret de la vie, beaucoup ne l'on pas compris, dommage car ils perdent la vie éternel.


J'allumais le cierge de l'Amitié Aristotélicienne et je lui tendis..

Henry était bien content de voir des faucons assister à son Baptême et écoutait attentivement la lecture de son parrain.


Bien mon père , je le tien.



Il tenait le Cierge de L'Amitié D'Aristote allumé et attendit la suite.

APTÊME DE Mrpantin Le 20/03/1459
Je vais procéder à la énédiction de ton aptême, voici le Cierge de L'Amitié D'Aristote, tien le bien droit, je vais l'allumé,

J'allumais le cierge de l'Amitié Aristotélicienne et je lui tendis..



Approchons nous du aptistère le moment est venu de te énir par la même du deviendra disciple d'Aristote..Approche au plus près du Baptistère ca va couler enfin l'eau coulera sur ton visage et tu sera baptisé..
Je sortais de ma poche un petit flacon et une petite boitte en porcelaine
Par cette eau, je te purifie!..Je te aptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père
de l’humanité. Voici ta médaille tu nous a prouvez que tu sera un bon disciple d'Aristote pour avoir bien répondu a tes pastorales tu a été un très bon élève..


Médaille
https://nsa25.casimages.com/img/2011/02/01/110201115436504964.png[img][/img]


Les cloches
de la belle Chapelle de L'Ost se mirent à battre à toute volée... On
pouvait les entendre à des kilomètres à la ronde. Leur son résonnaient à travers la caserne ...
tout le monde avaient une larme au coin des yeux nous nous embrassâmes dans l'amour et la joie,
je l'ai conduisis sur le parvis de l'Église pour leur dire ma joie, après plusieurs embrassade, de félicitation, Nous restâmes à discuter à L'entrée de l'église, puis tout le monde partit fêter ça, ou une grande fête les attendaient, un grand repas familiale et amical a été organiser pour cette occasion
Le Parrain et La Marraine me semblait tout ému(e), nous étions heureux le sourire au lèvre, et la larme à l'oeil..

Je vais vous laissez, on se vois ce soir pour la petite fête.. Que Dieu vous garde mes Amis

Octo venait d'etre mobilise.
Avant de partir au combat,il alla a la chapelle pour se recueillir.
Il se placa dans un coin et apres avoir recité les prieres habituelles en dit une plus particuliere:

Protegez mes amis,ma famille.Ma femme que j'aime ainsi que mes enfants.
Donnez moi la force de combattre sans peur et sans haine.
Ouvrez mon coeur a la compassion envers l'adversaire blessé...
Amen

Après un coup d'oeil à l'assemblée et un temps de pause il remarqua que Tout le monde avaient pris place et attendaient que je commence la Messe, les cloches se tus et je pris la parole..


Bonjour a vous tous .. Merci, a vous tous pour vos félicitations cela me va droit au coeur, je suis là pour vous servir secourir votre âme aussi, vous montrer le bon chemin à suivre..Commençons mes Amis a récité la confession...
Demandons grasse a notre très haut, demandons le pardon..
J'aimerais, que nous ayons une pensée pour nos frères qui participent ou vont participer à la guerre. Pour ceux qui se battent pour de fidèles combats, repoussant les êtres aveuglés par la créature Sans-nom.

Filibert, déclama alors une invocation pour ces hommes et femmes, ces frères et sœurs donnant leur force, leur sang pour la paix.


Bénis, Ô seigneur, ces humbles soldats et guide leur bras vers de justes combats. Éloigne-les de la colère pour les mener vers la paix. Protège-les des dangers et des malheurs. Qu'ils soient toujours sous ton aile protectrice. Accompagne-les en chaque moment.
Amen.

Filibert, marqua alors un temps de pause plus long, chacun connaissait surement quelqu'un ou plusieurs personne à qui penser à cet instant, pour qui prier.



J'écoutais attentivement qu'ils eux fini de demander pardon a notre seigneur pour reprendre la parole..


Pour suivons avec le Credo comme chaque Dimanche prière Aristotélicienne que tout le monde connais ..mais pour ceux qui ne sans souvienne pas ou peu répété après moi!..

le Credo
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Filibert le nouveau Aumônier se dirigea alors vers la chaire, il grimpa prestement sans rater une marche, puis ouvrit le Livre des Vertus et dit :

Aujourd'hui, je vais vous lire dans le Livre II du Livre des vertus, Le Chapitre I le Rêve.

Citation :

Chapitre Premier.
Le rêve
Moi, Posuys d’Alexandrie, pieux croyant d’Égypte, vais vous décrire la révélation qui me fut faite
en songe. Cela peut paraître étrange de considérer un rêve comme une véridique prémonition, mais
la lecture de mes révélations vous montrera qu’il ne s’agit pas d’un rêve ordinaire. Je remercie d’ailleurs le
Très Haut de m’avoir confié la divine mission de transmettre au monde Sa volonté.
Mon rêve commença par une douce lumière blanche. J’avais la sensation de me réveiller et, comme au
petit matin, j’émergeais petit à petit de mon état léthargique. La lumière apporta, au fur et à mesure de
mon réveil imaginaire, son lot de nuances. Je finis par voir un groupe d’être humains aux grandes ailes
d’oiseaux, surmontés d’un anneau lumineux. Ils resplendissaient d’amour et de douceur. Leurs regards
étaient pleins de bonté et de tendresse.
J’avais en face de moi tous les humains qui, par leur sainte vie vertueuse, avaient accédé au statut
d’anges. Sept d’entre eux dépassaient leurs compagnons par la sensation de bien-être que je ressentais en
leur présence. Je reconnus sans difficulté les sept archanges bénis de Dieu: Georges, patron de l’amitié,
Miguaël, patron du don de soi, Raphaëlle, patronne de la conviction, Gabriel, patron de la tempérance,
Michel, patron de la justice, Sylphaël, patron du plaisir, et Galadrielle, patronne de la conservation.
Derrière eux, je voyais de vastes paysages idylliques. Tout resplendissait la beauté et donnait envie d’y
rester pour l’éternité. Mais cela semblait bien vide. Je pouvais admirer les innombrables élus, peuplant le
Paradis, sur le visage desquels s’affichait la béatitude. Voyant un tel bonheur emplir ceux qui avait vécu
dans la vertu, je me réjouissais pour eux et espérais pouvoir les rejoindre.
Alors, j’entendis une voix dure et sereine me dire: « Ceux que tu vois ici sont ceux qui ont su gagner
le Paradis, suivant la parole que J’ai confiée à Aristote et à Christos. Mais sache que l’avenir ne sera pas
aussi radieux pour tous ». Je compris que c’était Dieu Lui-même qui m’adressait ce divin message. Alors,
les anges me laissèrent seul, en communion avec le Très Haut. « Regarde dans la flaque d’eau à tes pieds »,
me dit-Il.
J’y vis alors un beau pays. La douce chaleur du soleil caressait les arbres des vergers, nourrissait les
épis de blé, qui se dressaient, fiers, vers le ciel, et donnait tout son amour aux légumes, qui prospéraient.
Plus loin, je pouvais voir les vaches paître placidement, accompagnées de moutons gardés par leur pâtre.
L’agréable brise prêtait sa force au travail du meunier en faisant tourner les ailes du moulin.
La mer fournissait aux pêcheurs moult poissons, afin de les nourrir, et exhalait ses senteurs rustiques
mais si agréables à ceux qui savaient les apprécier. Au coeur de cette paisible vie, une ville, ceinte de
murailles, fourmillait d’activité. Les artisans oeuvraient afin de fournir à la population tout ce dont elle
avait besoin et les commerçants faisaient l’éloge de leur marchandises aux clients venant faire leur marché.
Les enfants jouaient, riant et courant le long des rues animées. Des tavernes sortaient des rires et des
bruits de liquides que l’on versait dans les chopes. Un petit groupe était attroupé autour du maire, qui
écoutait leurs interrogations et y répondait. Les cloches se mirent à sonner et nombre d’habitants sortirent
de leurs maisons pour se rendre à la messe.

Son rêve commença par une douce lumière blanche. J’avais la sensation de me réveiller et, comme au
petit matin, j’émergeais petit à petit de mon état léthargique. La lumière apporta, au fur et à mesure de
mon réveil imaginaire, son lot de nuances. Je finis par voir un groupe d’être humains aux grandes ailes
d’oiseaux, surmontés d’un anneau lumineux. Ils resplendissaient d’amour et de douceur. Leurs regards
étaient pleins de bonté et de tendresse.

Filibert, invita alors les Fidèles à venir communier.

Je vous invite pour tout ceux qui le veule à venir communier comme Notre très haut le fit a son dernier jour sur terre..
Approcher, voici ce pain voici ce vin partageons le entre nous tous..


Bon Dimanche a tous et surtout une bonne semaine a Dimanche prochain si vous le voulez bien!..

Filibert l'Aumônier des soldats allait célébré une messe, tout avaient été préparer la veille au soir même l'enfant de chœur était au garde a vous les mains jointes et pas mot ne sortait de sa bouche voyant que je le regardais il vint vers moi. l'Aumônier trouvait cette Chapelle de plus en plus belle, serais-se les fleurs qui la fleurisses !..

-Bonjour, Mon Père,

-Oui en effet, je te cherche partout regarde, tu a oublier le vin dans le Ciboire !...veux tu en mettre, pour la messe!..
Un peu plus que ça !...tu a la main légère ce matin tu n'en cacherais pas un peu pour toi des fois ?...
-Va sonner les cloche !... Mon enfant !..
-je suis prêt, mon Père, je vais sonner les cloches ...



DONG ... DONG ... DONG ....DONG ....DONG ....

Filibert, lui sourit, avec un aire attendrissant comme si c'était son enfant...
Il le salua quand il passa devant lui pour aller a la sacristie pour enfiler sa burne noir et son col blanc.
Lorsqu'il en sortit, le doux soleil du Printemps éclairait le chœur par une lumière diaphane, qui passait à travers les vitraux.
L'autel avait été préparé avec un beau tissus, le livre des vertus était ouvert.
Quand les fidèles se furent installés, l'Aumônier prit la parole

-Bienvenue, chers fidèles, en la maison du Très-Haut
Vous êtes venus en ce lieu pour faire acte de foi , ainsi nous allons d'abord commencer par nous purifier spirituellement.
Prions ensemble...
-Mais qu'est ce !...tout ce remue ménage ?..
Que les enfants qui courent dans l'allée central aillent se rassoir tranquillement sans bruit à coté de leur parents!..
-Commençons, la Confession!...

Tous pouvaient se confesser, que ce soit en public ou en privé.
Certains n'hésitaient pas à confesser leurs fautes face aux autres, mais le plus souvent, ce n'était pas le cas, de peur de leur regard, ce
qui était - au demeurant - légitime. D'un geste simple et posé, il invita les personnes présentes à dire cette prière.


-Mais nul ne saurait se présenter devant cet autel sans avoir récité la prière du pardon...
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Et après s'être purifiés spirituellement par la confession, nous allons réciter le Crédo...

Il, mit sa main gauche sur le livre des vertus et la droite au
niveau de sa poitrine sur son cœur, pour réciter le crédo



Il se dirigea alors vers la chaire, Il grimpa prestement sans rater une marche, puis ouvrit le Livre des Vertus et dit a son
enfant de Choeur qui tournait alors les pages du Livre des Vertus pour s'arrêter sur un
passage de la Vita De Christos

-Merci !..mon enfant, tu est a la bonne page tu peu aller t'assoir!..
Oui!..mon Père
Je vais vous lire un passage du livre des Vertus
-Vita de Christos, Extrait du Chapitre Huitième

Et il dit!.. d'une voie claire !..

Citation :

Si votre famille ne vous comprend pas, priez pour elle, car elle n’est pas sensible au message de Dieu.
Si celui qui vous Commande vous en veut, ne lui en voulez pas, et priez pour lui, car il n’est pas sensible au message de Dieu.
Si vos amis vous retiennent, alors entraînez les avec vous, afin qu’ils découvrent aussi le message de Dieu.
La route sera longue et tortueuse, le chemin rugueux, l’horizon
lointain, la pente forte, mais le soleil qui brille guidera nos pas.
Vous marchaient depuis une semaine vos pieds vous fond souffrir Priaient, chantaient, riaient , mais penser qu'il y a toujours Dieu au bout, priaient il vous protégera.
Tout au long de ces Routes
Nous connaîtrons des difficultés, des disputes, des colères, des
passions, des hésitations, mais l’amour et l’amitié nous unirons et
Dieu nous portera, vous vaincraient.
Mais si quelqu’un vous frappe, et que vous tombez, alors vos amis les plus sincère serons là et Dieu vous aidera à vous relevé
Si vous voulez vivre en groupe, dans l’amour de votre prochain et de la multitude,
si vous voulez partager votre pain avec vos amis, marcher
avec vos frères, alors venez à Dieu et vous gagnerai
Dans ce cas, si vous tombez sur le chemin, un frère s’arrêtera, et vous relèvera.

Il attendit quelques instants que chacun aient entendu ses paroles et s'en soit imprégné, puis Il reprit ...


Ce passage de la Vita de Christos est l'un de mes préférés et je dois vous confesser que je le dis très souvent.
Et pour cause, en lui seul, il met en exergue plusieurs des qualités de
notre belle communauté aristotélicienne : l'amour, l'amitié, le don de
soi ...
Et surtout que malgré toutes les épreuves, il y a toujours quelqu'un pour vous aider, pour vous relever si vous chutez, chez les disciple d'Aristote l'amitié avant tout.
Ainsi, notre mission, à nous, les représentant de l'Église est de vous guider spirituellement, mais nous pouvons aussi vous conseiller
lorsque vous faites face à l'adversité.
Ce texte nous montre aussi que celui qui vit seul est bien égoïste, car
il n'a rien à attendre des autres puisqu'il ne donne rien.
Certes, nous devons tous travailler et vivre, mais si cela se faire
dans les meilleures conditions, ce n'est pas plus mal, n'est-ce pas ?

Il sourit à l'assemblée et prépara les ustensiles de la communion,
le pain et le vin !... Je communiai la première en suit mon enfant de
chœur s'approcha et je lui donnai la communion, je me bus deux bonne
gorger de mon vin de messe mon petit rosée préféré.

Merci à tous, approchés pour ceux qui veule la communion il y en aura pour tout le monde voici ce pain, voici ce vin partageons le entre nous tous..Que le très haut nous guide et nous accompagne vers la vertus..

Tien mon enfant que ce vin est cette bouchée de pain te purifie.
merci!..Mon Père.
Tien ma fille que ce vin est cette bouchée de pain te purifie.
merci!..Mon père.
Tien mon fils que ce vin est cette bouchée de pain te purifie.
merci!..Mon Père.


Il salua les soldats. en suite il irait dire quelques mots a la sortie de la Chapelle à ses
Frères et Soeur, dans la Foi écouter d'une oriel complaisante les dernières nouvelles du Duché.

Allez en Paix que Dieu vous garde

Joshin et Arfast étaient venus aux premiers sons de cloche, car ils attendaient la messe avec grande joie. Il avait toujours le coeur léger les dimanches, car il se confessait et prenait le temps d'entendre la parole du Très-Haut qui le guidait dans ses actions chaque semaine et qui emplissait son coeur de piété, et du respect des bonnes valeurs aristotéliciennes.

Il prit le temps d'aller saluer l'aumônier en personne.

- Bonjour mon père, toujours aussi assidû à la messe, je suis bien content d'assister à vos sermons, cela me rappelle que notre devoir est envers Dieu et ceux qui nous aime avant de penser à soi.

Il alla s'asseoir avec son épouse après une génuflexion. Il joignit les mains après un sourire à son aimée, puis récita le crédo. Il se confessa ensuite lui aussi, pour ses péchés de la semaine.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Le sermon du jour le toucha, il comprenait bien pourquoi le Père Filibert aimait ce passage. On y faisait l'éloge du vivre-ensemble, de l'amour et de la compassion. Il vivait ces sentiments chaque jour avec son aimée, ses enfants, et les soldats qu'il côtoyait comme une grande famille. Il aurait à réfléchir cette semaine sur ces belles paroles.

Ils se levèrent ensuite pour communier, puis quittèrent la chapelle main dans la main.

La Chapelle se remplissait petit a petit et j'allais commencer la messe du Dimanche, j'attendais que tout les Soldats aient fini de s'installer
pour prendre la parole!..Quand ce fut fait je fis une génuflexion et je me retournais vers mes paroissiens pour les invités a la confession..


Bonjour, mes Amis, voici une semaine de fini et bientôt les Pâque, en attendant nous allons débuté la Célébration de la Messe de ce Dimanche..Demandons pardon de nos Péchés présent et passé en récitant la ..
La Confession


Le Credo est le texte fédérateur de notre Église, il est là pour faire grandir notre foi en notre cœur. Cette prière affirme notre foi et la crie au monde: il est le signe de notre union de croyants Aristotéliciens. Il illustre aussi le dogme et le résume en quelques mots. Tous les Aristotéliciens doivent le connaître. Le fait de réciter son credo est un acte qui assure au Très-Haut que vous vous maintenez avec force sur le chemin de la vertu. Ce credo doit être reconnu en prélude au baptême, et est primordial pour toutes les cérémonies.


Ceci dit mes amis continuons avec le Crédo Aristotélicien, je vous invite donc a le récité après moi en vous remerciant..
Le Crédo


J'attendais que tout eussent fini la prière pour leur lire un passage du livre des vertus, je feuilletais mon livre pour chercher une histoire a leur lire quand jus trouver une je reposais mon livre des Vertus sur son socle et commençais le passage que j'avais choisi...

Citation :

Livre de la Création
Chapitre I - « L’univers »

Au commencement, il n’y avait que Dieu.

Il n’y avait encore ni matière, ni énergie, ni mouvement. Il n’y avait même pas le vide, comme celui qui aujourd’hui sépare le monde des étoiles, car même le vide est quelque chose. Non, ce qui Le composait alors, c’était le Néant. Cela ne se définit pas comme l’absence de toute chose car, lorsque l’on dit de quelque chose qu’il est absent, nous avons conscience de la possibilité de son existence. Le Néant, c’est lorsque même l’idée de l’existence est impossible. Sauf pour Dieu.

Mais Dieu est supérieur à tout, y compris au Néant. Il n’a pas de commencement ni de fin. Il est donc l’Infini et l’Eternel. Il est l’Être Parfait, sur qui rien n’a de prise, rien ne peut agir, rien ne peut interférer. Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence et d’une autre simple pensée pour que cela retourne de l’Existence au Néant. Tout Lui est donc possible et tout Lui doit donc son existence.

Dieu est la Matière Première à partir de laquelle tout est créé. La matière, l’énergie, le mouvement et le temps sont eux-mêmes composés de Lui. Ceci fait que tout ce qui existe, ainsi que le Néant lui-même, fait partie de Lui. Il est aussi le Créateur de toute chose. C’est Lui qui crée tout ce qui existe et lui donne sa forme et son contenu. Il est enfin le Très Haut, car Il est la cause même de l’existence de toute chose, y compris du Néant.

De ce fait, Dieu sait tout, car le savoir même fait partie de Lui, est créé par Lui et trouve sa cause en Lui. On dit ainsi qu’Il est omniscient. De plus, Il est partout car, aussi loin que l’on aille, on se trouve toujours en Lui. On le qualifie donc d’omniprésent. Enfin, Il peut agir partout car, étant partout et sachant tout, rien ne peut entraver Son action.

Dieu pensa et un point minuscule apparut. Ainsi, par la création de cet unique minuscule point, Il venait de faire disparaître le Néant. Dorénavant, Il serait composé de l’Existence et du vide, mais plus du Néant. Il décida de nommer ce point minuscule “univers” et le fit exploser en une myriade d’étoiles, qui vinrent peupler le vide. Jamais plus, elles ne cessèrent de resplendir au firmament céleste.

Alors Dieu créa les deux mouvements : les choses lourdes iraient vers le bas et les choses légères vers le haut. Il créa également les quatre éléments. Le plus lourd était la terre. Puis venaient l’eau, le vent et le feu. Il les disposa dans l’ordre hiérarchique de leur pesanteur. La terre se trouvait donc au centre. Elle fut recouverte par l’eau, elle-même recouverte par l’air. Enfin, le plus léger des éléments, le feu, vint couvrir le tout.

Cette boule de matière, Dieu la nomma Monde. Afin que mouvement se fasse, Il entreprit de défaire l’ordre hiérarchique des éléments. Il plaça le feu au centre de la terre et l’eau dans le ciel, au-dessus de l’air. Les éléments bougeaient, alternant ordre et désordre, retournant systématiquement du désordre à l’ordre. Dieu se plaisait à voir comment Sa création se mouvait pour correspondre à l’ordre hiérarchique de leur pesanteur.


Spyosu

Dieu est supérieur à tout, y compris au Néant. Il n’a pas de commencement ni de fin. Il est donc l’Infini et l’Eternel. Il est l’Être Parfait, sur qui rien n’a de prise, rien ne peut agir, rien ne peut interférer. Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence et d’une autre simple pensée pour que cela retourne de l’Existence au Néant. Tout Lui est donc possible et tout Lui doit donc son existence.
Prions le car il est notre père pour éternité, Le Créateur de toute chose

Venez communiez, pour ceux qui le désir vienne prendre un carré de pain et une goutte de vin, je Bénis ce repas et vous aussi..
Approcher près de moi !..




Bonne semaine a tous que Dieu vous garde, mes Amis..

Mes Amis prions pour notre salut, prions pour les pauvres âmes qui airent sans but !..
Récitons la confession pour commencer cette célébration, lavons nous de nos péchés présent et futur,
La Confession


Après cela nous allons mieux et nous pouvons continuer notre Messe le moment est venus de récité le Credo Aristotélicien
Le Crédo
Je crois en dieu,le Très-haut tout puissant,
créateur du Ciel et de la Terre,
des Enfers et du Paradis,
juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote,son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'univers aux hommes égarés

je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a avoué sa vie a nous montrer le chemin du paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
il est mort dans le martyr pour nous sauver.
il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-haut

Je crois en l'action divine,
en la sainte Église aristotélicienne
romaine une et indivisible,
en la communion de saints,
en la rémission des péchés
en la vie Éternelle.

Amen

Je marquais une pose le temps que mes paroissiens finissent la prière, je pris mon livre des Vertus a la page que j'avais chois pour cette lecture, j'allais leurs lire un chapitre sur la Crétion la suite de la semaine dernière..

Mes Amis la lecture Sainte d'aujourd'hui sera la suite de la semain dernière le chapitre sur la Création, merci d'être attentif ..

Citation :

Livre de la Création
Chapitre I - « L’univers »

Au commencement, il n’y avait que Dieu.

Il n’y avait encore ni matière, ni énergie, ni mouvement. Il n’y avait même pas le vide, comme celui qui aujourd’hui sépare le monde des étoiles, car même le vide est quelque chose. Non, ce qui Le composait alors, c’était le Néant. Cela ne se définit pas comme l’absence de toute chose car, lorsque l’on dit de quelque chose qu’il est absent, nous avons conscience de la possibilité de son existence. Le Néant, c’est lorsque même l’idée de l’existence est impossible. Sauf pour Dieu.

Mais Dieu est supérieur à tout, y compris au Néant. Il n’a pas de commencement ni de fin. Il est donc l’Infini et l’Eternel. Il est l’Être Parfait, sur qui rien n’a de prise, rien ne peut agir, rien ne peut interférer. Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence et d’une autre simple pensée pour que cela retourne de l’Existence au Néant. Tout Lui est donc possible et tout Lui doit donc son existence.

Dieu est la Matière Première à partir de laquelle tout est créé. La matière, l’énergie, le mouvement et le temps sont eux-mêmes composés de Lui. Ceci fait que tout ce qui existe, ainsi que le Néant lui-même, fait partie de Lui. Il est aussi le Créateur de toute chose. C’est Lui qui crée tout ce qui existe et lui donne sa forme et son contenu. Il est enfin le Très Haut, car Il est la cause même de l’existence de toute chose, y compris du Néant.

De ce fait, Dieu sait tout, car le savoir même fait partie de Lui, est créé par Lui et trouve sa cause en Lui. On dit ainsi qu’Il est omniscient. De plus, Il est partout car, aussi loin que l’on aille, on se trouve toujours en Lui. On le qualifie donc d’omniprésent. Enfin, Il peut agir partout car, étant partout et sachant tout, rien ne peut entraver Son action.

Dieu pensa et un point minuscule apparut. Ainsi, par la création de cet unique minuscule point, Il venait de faire disparaître le Néant. Dorénavant, Il serait composé de l’Existence et du vide, mais plus du Néant. Il décida de nommer ce point minuscule “univers” et le fit exploser en une myriade d’étoiles, qui vinrent peupler le vide. Jamais plus, elles ne cessèrent de resplendir au firmament céleste.

Alors Dieu créa les deux mouvements : les choses lourdes iraient vers le bas et les choses légères vers le haut. Il créa également les quatre éléments. Le plus lourd était la terre. Puis venaient l’eau, le vent et le feu. Il les disposa dans l’ordre hiérarchique de leur pesanteur. La terre se trouvait donc au centre. Elle fut recouverte par l’eau, elle-même recouverte par l’air. Enfin, le plus léger des éléments, le feu, vint couvrir le tout.

Cette boule de matière, Dieu la nomma Monde. Afin que mouvement se fasse, Il entreprit de défaire l’ordre hiérarchique des éléments. Il plaça le feu au centre de la terre et l’eau dans le ciel, au-dessus de l’air. Les éléments bougeaient, alternant ordre et désordre, retournant systématiquement du désordre à l’ordre. Dieu se plaisait à voir comment Sa création se mouvait pour correspondre à l’ordre hiérarchique de leur pesanteur.


Spyosu

Ce si lut j'espère que cela vous a plut c'est notre histoire a nous disciple d'Aristote, voila!. ce qui sais passer voila! .. comment Dieu a réuni toute sa création et en a fait la terre d'aujourd'hui, prions notre Seigneur et remercions le pour toute cette beauté que nous avons devant nous...

Venez communiez, pour ceux qui le désir vienne prendre un carré de pain et une goutte de vin, je Bénis ce repas et vous aussi..
Approcher près de moi !..



Bonne semaine a tous que Dieu vous garde, merci d'être venus

Yondolar pris place sur une banquette au fond l'église.

Le jeune homme n'avait pas l'habitude d'assisté aux célébrations religieuses, car il n'était pas baptisé et avait peur de faire offense au Très Haut en pénétrant dans un lieu de culte.
Mais, ce jour était particulier, car 19 ans plus tôt, sa pauvre mère, quittait dans d'atroces souffrances la vie que lui avait donné le Divin.
Yondolar eut un moment les yeux embués en ce souvenant de ce triste passage de sa jeunesse.

Quelle ironie! Se dit le jeune homme. Perdre la vie en voulant mettre au monde des jumeaux...Le Tout Puissant serait il aussi ingrat pour exécuter de tels faits?!

Yondolar chassa ces idées noires de son esprit et se concentra sur les paroles du Père Filibert.

Il répéta la Confession:


Puis, se mis à psalmodier Le Crédo:

Je crois en dieu,le Très-haut tout puissant,
créateur du Ciel et de la Terre,
des Enfers et du Paradis,
juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote,son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'univers aux hommes égarés

je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a avoué sa vie a nous montrer le chemin du paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
il est mort dans le martyr pour nous sauver.
il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-haut

Je crois en l'action divine,
en la sainte Église aristotélicienne
romaine une et indivisible,
en la communion de saints,
en la rémission des péchés
en la vie Éternelle.

Amen

A la suite de ce cantique, un court silence s'abattu dans la chapelle. Le père Filibert poursuivit la cérémonie par une lecture. Yonolar écouta.

Citation :

Livre de la Création
Chapitre I - « L’univers »

Au commencement, il n’y avait que Dieu.

Il n’y avait encore ni matière, ni énergie, ni mouvement. Il n’y avait même pas le vide, comme celui qui aujourd’hui sépare le monde des étoiles, car même le vide est quelque chose. Non, ce qui Le composait alors, c’était le Néant. Cela ne se définit pas comme l’absence de toute chose car, lorsque l’on dit de quelque chose qu’il est absent, nous avons conscience de la possibilité de son existence. Le Néant, c’est lorsque même l’idée de l’existence est impossible. Sauf pour Dieu.

Mais Dieu est supérieur à tout, y compris au Néant. Il n’a pas de commencement ni de fin. Il est donc l’Infini et l’Eternel. Il est l’Être Parfait, sur qui rien n’a de prise, rien ne peut agir, rien ne peut interférer. Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence et d’une autre simple pensée pour que cela retourne de l’Existence au Néant. Tout Lui est donc possible et tout Lui doit donc son existence.

Dieu est la Matière Première à partir de laquelle tout est créé. La matière, l’énergie, le mouvement et le temps sont eux-mêmes composés de Lui. Ceci fait que tout ce qui existe, ainsi que le Néant lui-même, fait partie de Lui. Il est aussi le Créateur de toute chose. C’est Lui qui crée tout ce qui existe et lui donne sa forme et son contenu. Il est enfin le Très Haut, car Il est la cause même de l’existence de toute chose, y compris du Néant.

De ce fait, Dieu sait tout, car le savoir même fait partie de Lui, est créé par Lui et trouve sa cause en Lui. On dit ainsi qu’Il est omniscient. De plus, Il est partout car, aussi loin que l’on aille, on se trouve toujours en Lui. On le qualifie donc d’omniprésent. Enfin, Il peut agir partout car, étant partout et sachant tout, rien ne peut entraver Son action.

Dieu pensa et un point minuscule apparut. Ainsi, par la création de cet unique minuscule point, Il venait de faire disparaître le Néant. Dorénavant, Il serait composé de l’Existence et du vide, mais plus du Néant. Il décida de nommer ce point minuscule “univers” et le fit exploser en une myriade d’étoiles, qui vinrent peupler le vide. Jamais plus, elles ne cessèrent de resplendir au firmament céleste.

Alors Dieu créa les deux mouvements : les choses lourdes iraient vers le bas et les choses légères vers le haut. Il créa également les quatre éléments. Le plus lourd était la terre. Puis venaient l’eau, le vent et le feu. Il les disposa dans l’ordre hiérarchique de leur pesanteur. La terre se trouvait donc au centre. Elle fut recouverte par l’eau, elle-même recouverte par l’air. Enfin, le plus léger des éléments, le feu, vint couvrir le tout.

Cette boule de matière, Dieu la nomma Monde. Afin que mouvement se fasse, Il entreprit de défaire l’ordre hiérarchique des éléments. Il plaça le feu au centre de la terre et l’eau dans le ciel, au-dessus de l’air. Les éléments bougeaient, alternant ordre et désordre, retournant systématiquement du désordre à l’ordre. Dieu se plaisait à voir comment Sa création se mouvait pour correspondre à l’ordre hiérarchique de leur pesanteur.


Spyosu

S'en suis la communion, Yondolar resta assis et observa les personnes se lever et s'approcher du choeur de l'église pour partager le corps et le sang de Jésus.

Puis, à la fin de la commémoration, Le jeune homme se leva et quitta la fraicheur de la chapelle pour retourner vaquer à ses occupations.

Filibert c’était lever au aurore pour préparer, rangement, il fallait que ce lieux de prière soit impeccable, irréprochable pour accueillir mes fidèles paroissiens!..Je me rendis au porte de l'édifice pour les accueillir..

Bonjour, mes amis!.. laissez moi le temps de me changer et je viens vous célébré l'office..Entrée, installer vous!..Je n'en est pas pour longtemps, promis..J'arrive !..

j'arrangeais le Tabernacle allumait la bougie, d'un cou d'œil, je vis que tout était près pour ma célébration et
je pouvais commencé ma Messe

Nous allons commencer par récité la confession comme d'habitude, avec ferveur et concentration que le très haut nous entende, qu'il voit que nous l'aimons et que nous demandons sa grasse et sont pardon.
La Confession

Nous voici pardonner de nos péchés, alors a nous de rester sur le chemin de la vertu, d'aimer nostre seigneur plus que nous même!..
Continuons notre prière en lisant a voie haute notre Crédo Aristotélicien..
Le Crédo
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
La semaine dernière nous en est on au chapitre 3 La plaine, je vous lis la suite au
Chapitre 4 Le mythe Aristotélicien, tout le monde est a la bonne page, merci!..
Les galeries

Citation :

Alors, Léviathan frappa l’herbe sanguine de son sabot, et une ouverture se fit dans le sol. J’y vis un
escalier de pierre en colimaçon descendre dans l’obscurité. Prenant mon courage à deux mains, je
m’y engageai, pendant que le Prince-démon retournait au combat. Je descendis prudemment les marches,
car il n’y avait pas de lumière pour m’aider à savoir où j’avançais et le chemin semblait encore long. Pour
m’aider, je faisais glisser ma main le long du mur, et je pouvais me rendre compte au toucher qu’il était
simplement creusé dans la terre.
Je sursautai de peur lorsque mes doigts touchèrent une forme visqueuse. C’est alors que l’escalier
s’emplit d’une couleur verdâtre. Je retournai mon regard vers la cause de mon sursaut et vis avec dégoût
un long lombric sortir du mur. Il irradiait de cette lumière répugnante, tout comme les milliers de créatures
similaires qui sortaient elles aussi de la terre. Commençant à avoir l’habitude du fonctionnement lunaire, je
me demandai quel péché était puni en ces lieux. J’obtins ma réponse en bas de l’escalier en colimaçon, où
se trouvait une dizaine de galeries creusées à même la terre, infestées de ces immondes bestioles verdâtres.
Des damnées bouffis, qui avaient du mal à avancer tant leur corps était rempli de graisse, attrapaient
et dévoraient celles qui passaient à leur portée. Je retins ma nausée, lorsque une nouvelle galerie s’ouvrit,
laissant passer la tête d’un énorme vers de terre répugnant. Celui-ci me dit: « Je suis Azazel, Prince de la
Gourmandise. Galadrielle, Archange de la Conservation est mon opposée. Celui qui abuse du plaisir des
besoins premiers, qui n’a pas la mesure des nécessités de sa subsistance, vient rejoindre les rangs de mes
damnés. »
Puis il ajouta: « Suis-moi ». Il recula et continua à creuser sa galerie. Je le suivis sur de nombreuses
lieues, suivant ses multiples changements d’orientation. Puis, le tunnel déboucha sur un grand hangar de
bois. Je compris que je me trouvais au pied du pic de pierre. Azazel, qui m’attendait près de la sortie,
repartit en creusant un nouveau tunnel. Je regardai autour de moi et m’aperçus que j’étais sur une sorte
de butte de terre. Tout autour d’elle, un gouffre semblait ne pas avoir de fond.
Mais il devait forcément y en avoir, car de nombreux pilonnes de bois en surgissaient arrivant à ma
hauteur. Des damnés étaient placés dessus. Même debout, ils devaient faire de difficiles efforts afin de se
maintenir dessus et de ne pas tomber. Mais le plus étrange, c’était que chacun tenait entre ses bras des
trésors incomparables en valeur et en beauté. Ils s’agrippaient à ces lourds coffres remplis d’or, à ces gros
sacs pleins de pierres précieuses, comme si leur vie en dépendait.
Parfois, un mouvement un peu moins mesuré que les autres faisait tomber certaines de ces richesses.
Ceux qui faisaient l’erreur d’essayer de les rattraper finissaient invariablement par tomber. Du gouffre
une pâle lueur jaune témoignait des innombrables richesses qui y étaient tombées, entraînant dans leur
sillage les maudits, dont aucun ne semblait vouloir laisser s’échapper le moindre écu. Certains devaient
même s’accrocher depuis longtemps, car leurs jambes étaient atrophiées. Mais ils ne laissaient échapper la
moindre plainte, craignant de faire tomber leur or dans le gouffre.
Alors, je vis descendre du plafond, rattachée à son fil, une gigantesque araignée toute couverte d’or,
aux milliers d’yeux de diamant. Arrivée près de moi, elle me dit: « Je suis Belzébuth, Prince de l’Avarice.
Georges, Archange de l’Amitié, est mon opposé. Celui dont l’égoïsme n’a d’égal que le mépris de l’autre
vient rejoindre les rangs de mes damnés. »Puis, sans ajouter quoi que ce soit, le Prince-démon tissa un
pont, avec sa toile, reliant mon îlot et le bord du hangar de bois.

Ne nous éloignons pas du droit chemin qui est la vertu suivons notre guide suivons les préceptes de notre Seigneur, car nous finirons comme eux..
Comme je ne me vois pas avec une grande queue, je suivrais le chemin tout tracés de la vertus..
Je vais vous donnais la communions veuillez vous approchaient.

Je donnais a chacun une part de miche de pain que j'avais préalablement couper en carré et une goutte de mon bon vin!...

Je vous souhaite une belle semaine que le très haut vous Bénisse