>>> Recrutement des Civils <<<

salutation je me nomme benjam je vie à Orléan je n'est fait partie d'aucune armé avant

Moi benjam, je jure solennellement sur mon honneur et mon épée de toujours servir ma patrie Orléanaise, de me dévouer pour le Duché de toutes mes forces sacrifiant, si nécessaire, ma vie pour sa défense.
Je jure de servir fidèlement, loyalement, et de bonne foi Sa Majesté Nebisa de Malemort ainsi que l'Etat-Major du Duché d'Orléanais, Commandant en chef des forces armées dont sont membres : le Duc, le Connétable, le Capitaine, le Premier Lieutenant ainsi que les Lieutenants de chaque Fortin.
Je jure de respecter la hiérarchie militaire et d'obéir aux ordres donnés par mes supérieurs.
Enfin je jure de respecter à la lettre et sans dérogation le CODE MILITAIRE de l'armée Orléanaise.

Moi benjam, je jure solennellement que, sauf autorisation donnée par le Capitaine, je ne révélerai ni ne communiquerai à quiconque qui n'y a pas légitimement droit (soldat ou civil) les renseignements qui viennent à ma connaissance ou que j'obtiens en raison de mes fonctions dans l'armée du Duché Orléanais.

je servirai toujours ma patrie

Lissandril passait régulièrement devant le bureau d'inscription. Il avait rencontré un jeune homme en taverne à Orléans il y a quelques temps et il s'étaient tous deux liés d'amitié. Aussi, tout naturellement, Lissandril lui avait-il parlé de l'Ost et lui avait-il proposé de le rejoindre. Et ce jour là, Lissandril vit que Benjam était là. Il écouta son serment sur le pas de la porte et entra.

Bonjour Benjam. Heureux de vous voir ici. J'ai entendu vos serments. Toutefois, il y a une petite erreur, dont vous n'êtes pas responsable d'ailleurs. Notre Roy n'est plus Levan III. Pourriez-vous je vous prie le refaire comme suit, je vous prie? Une fois ceci fait et votre courrier reçu, j'irai présenter tout cela à l'Etat Major.

Citation :: SERMENT DE LOYAUTE
Moi Benjam, je jure solennellement de toujours servir ma patrie Orléanaise, de me dévouer pour le Duché de toutes mes forces sacrifiant, si nécessaire, ma vie pour sa défense.
Je jure de servir fidèlement, loyalement, et de bonne foi Sa Majesté Nebisa de Malemort ainsi que l'Etat-Major du Duché d'Orléanais, Commandant en chef des forces armées dont sont membres : le Duc, le capitaine royal , le Connétable, le Grand Maître des Faucons ainsi que les Maîtres de Front et les Grands Faucons de chaque Fortin.
Je jure de respecter la hiérarchie militaire et d'obéir aux ordres donnés par mes supérieurs.
Enfin je jure de respecter à la lettre et sans dérogation le CODE MILITAIRE de l'armée Orléanaise.

mon ami j ai corrigé cette erreur

Je suis tatillon, mais les grades aussi sont à changer. C'est pour cela que je vous ai tout remis. *sourit*

Alexandre avait assisté à la prestation de serment d'une autre recrue. Un point l'avait fait tiquer.
Une fois la prestation terminée et l'attention revenue vers lui, il dit :

Relisons ensemble un passage du serment dont nous venons d'avoir une interprétation :"Enfin je jure de respecter à la lettre et sans dérogation le CODE MILITAIRE de l'armée Orléanaise."

Je pense que nous y sommes. Les règles actuelles sont belles et bien là. A la lecture du code, tout noble est d'office membre de la cavalerie de par son serment au Duc. Si nous décidions de passer par un autre cheminement à savoir une formation civile, nous serions en contradiction avec les textes et le serment par lequel nous nous engageons tous à respecter à la lettre et sans dérogation le code militaire.

Toute personne prenant part à un scénario qui ne respecterait pas le code à la lettre serait à envoyer en cours martiale ou serait à exclure d'office. Je pense que personne n'a envie de jouer à cela ici.

Je veux bien entendre que la cavalerie est loin d'être fonctionnelle aujourd'hui, mais la mettre en chantier ne me fais pas peur. Et je n'ai rien contre le fait de travailler avec un soldat expérimenté à cela, même si il s'agit d'un roturier.

Peut être pourrions nous en discuter plus longuement ailleurs que dans le bureau des inscriptions vu que nous n'avons rien à y faire?

Lissandril se tourna vers le Duc.

Votre Grâce, je ne suis pas le mieux placé pour répondre à vous attentes je crois. Aussi vais-je faire quérir quelqu'un de plus compétent. Veuillez m'excuser.

Lissandril se retira de longues minutes. Il finit par revenir, un papier à la main.

Votre Grâce, quelqu'un va venir vous répondre sous peu.

Puis, se tournant vers Benjam.

Votre dossier est complet et j'ai bien là votre lettre de candidature. Je vais de ce pas déposer tout cela à l'EM.

Ne le prennez pas comme cela, nous ne cherchons pas quelqu'un de plus compétent, il n'a jamais été question de vos compétences. Peut être n'etes vous tout simplement pas au courant. Mais n'insinuez pas que vous n'êtes pas compétent.

Le Duc attendit donc patiemment que le connétable ou une autre personne revienne vers lui avec de plus amples informations.

Informé des demande de sa grâce Alexandre de Cheroy .Kali sourit, elle commençait à bien le connaitre et savait qu'il faisait rarement dans la dentelle .Mais Oh bruit qui courait dans la caserne, il n'avait pas été fort bien perçu, Et cela créait un brin d’effervescence .Souvent quand on vient bouger ce qui est en place cela déstabilise .Et comme Alex était loin d’être un bisounours ben cela ne passait pas très bien.
Elle se rendit donc à sa rencontre pour la deuxième fois.

Rebonjour votre grâce .Permettez que je réponde à toute vos questions.
La première cessez de faire peur à cette caserne

La elle partie d’un éclat de rire et eu un sourire moqueur pour le duc

Vous savez lorsque l’on veut bousculer un système, souvent la peur met sur la défensive.
Je pense que l’endroit est mal venu pour la discussion, vous avez bien raison.
Je vais donner ordre que l’on nettoie, les bureaux de la cavalerie et des que notre capitaine m’aura donné son accord, je vous donnerez les clefs pour une discussion sur la place de la cavalerie et de comment nous pourrions faire pour mettre en place ce corps.
Je vous demande d’avoir encore un peu de patience

Bonjour,

Je me nomme Brazen, je vis à Orléans et je n'ai aucune expérience en tant que soldat. Rolling Eyes

Moi Brazen, je jure solennellement de toujours servir ma patrie Orléanaise, de me dévouer pour le Duché de toutes mes forces sacrifiant, si nécessaire, ma vie pour sa défense.
Je jure de servir fidèlement, loyalement, et de bonne foi Sa Majesté Nebisa de Malemort ainsi que l'Etat-Major du Duché d'Orléanais, Commandant en chef des forces armées dont sont membres : le Duc, le capitaine royal , le Connétable, le Grand Maître des Faucons ainsi que les Maîtres de Front et les Grands Faucons de chaque Fortin.
Je jure de respecter la hiérarchie militaire et d'obéir aux ordres donnés par mes supérieurs.
Enfin je jure de respecter à la lettre et sans dérogation le CODE MILITAIRE de l'armée Orléanaise.

Moi Brazen, je jure solennellement que, sauf autorisation donnée par le Capitaine Royal, je ne révélerai ni ne communiquerai à quiconque qui n'y a pas légitimement droit (soldat ou civil) les renseignements qui viennent à ma connaissance ou que j'obtiens en raison de mes fonctions dans l'armée du Duché Orléanais.

Je compte envoyer ma lettre de motivation au connétable très prochainement.

Faisant fit de la nouvelle apparition d'un volontaire, Alexandre eu ces mots :
Madame, je pensais que vous me connaissiez, mais je pense que j'ai du me tromper. Je crois surtout que j'ai du me tromper sur l'Ost. Si un seul homme arrive à la faire trembler, il ne faut pas s'étonner que les bretons se sentent si bien en Orléans et qu'il leur fut aisé de faire tomber le chateau. De telles paroles dans votre bouche, c'est là une véritable invitation à toutes les armées hostiles à la France que de venir s'installer en Orléans ! Et mettre à mal la royauté.

Je crois également que vous n'avez pas écouté ce que je disais, à AUCUN moment, je n'ai souhaiter remettre en question le SYSTEME de l'Ost. Aucun !
Loin de là, je n'ai simplement voulu qu'appliquer à la lettre le règlement. Tenez écouter bien les mots que va prononcer ce jeune homme qui vient d'arriver.

Le Duc fit un signe en direction du jeune homme se présentant comme Brazen.
Une fois que le nouveau candidat eu fini sa récitation, Alexandre repris la parole. Il répéta doucement, syllabe par syllabe et en insistant la phrase suivante.

En-fin je ju-re de res-pec-ter à la let-tre et sans dé-ro-ga-tion le CO-DE MI-LI-TAI-RE de l'ar-mée Or-léa-naise

Je n'ai fais que citer ce CODE MILITAIRE dit il en otant la voix, qu'en serait il d'un Ost qui se refuse à appliquer son propre règlement. Je ne demande aucun passe droit. Et d'ailleurs, je ne demande pas à avoir les clefs de quelqu'endroit de l'Ost. Je venais ici pour offrir mes services dans une fonction qui est en lien avec mon serment vassalique avec le Duché. Point.
Mais peut être avez vous déjà trop de recrues en Orléans.

Oh attendez ! J'ai peut être trouvé !

Vous me disiez que la caserne a peur. Enfin ... peur d'un seul homme. N'avez vous pas suffisemment confiance en vous et dans le charisme de vos dirigeants actuel que simplement en arrivant ici, je fait trembler l'édifice ?
Si ce n'est que cela, il suffisait de le dire d'emblée. Je serais aller voir plus loin si je peux rendre service à des gens qui ne sont pas des pleutres et qui savent à quoi correspond le terme de courage !

Le Grand Faucon de Gien traversait la cour de la Caserne entre deux tâches concernant son Fortin, et entendit une conversation animée en salle d'accueil des recrues.

Il gagna les locaux d'instruction à grandes enjambées, et arriva assez tôt pour surprendre les dernières paroles d'un homme dont l'expression comme les vêtements laissaient supposer qu'il s'agissait d'un noble de haut parage.

Citation :: Vous me disiez que la caserne a peur. Enfin ... peur d'un seul homme. N'avez vous pas suffisemment confiance en vous et dans le charisme de vos dirigeants actuel que simplement en arrivant ici, je fait trembler l'édifice ?
Si ce n'est que cela, il suffisait de le dire d'emblée. Je serais aller voir plus loin si je peux rendre service à des gens qui ne sont pas des pleutres et qui savent à quoi correspond le terme de courage !

Kalwynn ne reconnaissait pas l'homme, un manque certes, mais à sa décharge on pouvait dire qu'il consacrait la majeure partie de son temps à l'Ost.

Il s'inclina légèrement devant leur invité, puis lui adressa un sourire honnête :

Le bonjour, messire. J'ignore ce que vous amène, même si votre présence dans ces locaux suggère une matière de recrutement. Sachez que notre Ost accorde une grande valeur à toutes les candidatures, et nous avons besoin de femmes et d'hommes au caractère bien trempé... un trait de personnalité que j'entends apparemment dans votre voix...

Il marqua une pause.

Cela dit, je goûte assez peu que quelqu'un vienne dans notre propre Caserne insulter notre Ost. Je me trompe sûrement, n'ayant pas assisté à tout l'entretien. Mais si vous souhaitez confirmer un quelconque affront je me fais fort de régler ce point avec vous dans la Lice qui vous conviendra.
Et il serait idiot n'est-ce pas d'en arriver à faire couler le sang ici alors que la guerre fait rage, et que nous sommes peut-être de futures frères d'armes.

Le capitaine se présenta au bureau de recrutement ou grand bruit se faisait entendre.

Messire Alexandre , bien le bonjour.

Tout d'abord , notre armée ne craint ni le breton , ni l'hydre ni aucune armée qui viendrait mettre son nez ici!

Donc sur se point ne vous inquiété pas.
Pour se qui est de votre demande , je vous ouvre accés a la Cavalerie ou nous pourront discuté.
Vous savez tout comme moi que le calme et la modération sont important dans une discution, allons donc en se lieu continué notre discution.

Lissandril avait reçu ce matin là une lettre de motivation. Un nouveau candidat d'Orléans. Cela lui faisait plaisir de voir des gens motivés dans sa ville. Il se dirigea donc vers le bureau des inscriptions. Le Duc était toujours là et la discussion était quelque peu agitée. Lissandril arriva juste pour entendre Kalwynn répondre au Duc. Cela lui arracha un petit sourire.

Sans plus prêter attention à cette discussion, il se dirigea vers le soldat de faction qui lui indiqua qu'un homme du nom de Brazen venait de prêter serment. Cela tombait bien, il avait justement sa lettre en main. Aussi Lissandril se dirigea-t-il vers lui.

Bonjour. Je me présente, Lissandril, Connétable de notre Ost. J'ai bien reçu votre courrier ce matin. Je transmets immédiatement votre dossier à l'Etat Major qui va délibérer. Je reviendrai vous voir rapidement avec notre réponse. Quoi qu'il en soit, je suis heureux de voir des personnes prêtes à défendre notre Duché.

Vu le ton de la conversation, il ne fut pas longtemps pour que des passant s'arrête autour d'eux. Un nouvel intervenant arriva dans la conversation. Ne s'étant présenté, le Duc ne sus qu'elle était son grade réel mais à ses mots et son intonnation, le Duc décela un homme investit et plutot du type militaire qui aime à en découdre pour régler les soucis.
Aaaaahh la violence.

Avant de prendre la parole, le Duc l'examinât de haut en bas.

Je me présente, Alexandre de Chéroy, Duc du Dunois et Seigneur de chéroy.
Je vous salue également cher monsieur ... Il marqua un temps d'arrêt, puis repris.Pouvez vous me rappeler votre nom, je pense de pas l'avoir bien saisi. Excusez moi, mais je n'étais ici que pour m'enroler, donc chaque visage ici, ou presque, est neuf pour moi.

Une fois que l'homme se fut présenté par son nom et son rang, ce qui confirma l'impression du duc, ce dernier repris;

Si à un moment, vous pensez que l'ost est insulté, je vous invite à avoir une explication avec la Baronne de Sully. Il insistat sur ces trois derniers mots. Elle pourra que mieux vous expliquer pourquoi je fais apparemment si peur à l'Ost et sa chaine de commandement. Ne sachant pas, je n'ai pu que tirer les conclusions qui sont miennes.

Sachez en réponse à votre question, que j'ai presté allégeance au Duché d'Orléans et que de par ce fait, je m'en voudrais de faire couler votre sang sur la lice. Je ne doute pas que je ferais perdre au duché un élément indispensable alors que la guerre est à notre porte.Et si il y a affront, il me semble qu'il résiderait au sein de l'ost qui souhaiterais que d'emblée nous allions à l'encontre son code, alors qu'il m'est demandé de jurer de le respecter à la lettre.

Je suis de sang noble, je préciserais même de la plus ancienne famille noble encore vivante en Orléans, aussi connaissant le code militaire et mon engagement vis à vis du Duc, je venais pour m'engager au sein de la cavalerie vu que tel est son nom. Mais il semblerait qu'il faille d'emblée s'écarter du code car cela risquerait de rendre jaloux ...

Alors qu'il répondait au premier maréchal, le Duc fut interrompu par un autre larond qui ne se présenta pas non plus. Il marqua alors une nouvelle fois une pause et repris :

Bien le bonjour, Alexandre de Chéroy, Duc du Dunois et Seigneur de Chéroy.
Vous devez être le porte clefs je suppose ?

Je ne sais pas si au final c'est plus opportun d'aller nous cacher, car au final, il semble y avoir de l'écho ici. Ce qui n'est pas plus mal. J'ai peur que si l'on se déplace, on ne me fasse encore poireauter pendant des heures.

De plus, j'ai cru comprendre à demi mot que la noblesse finalement n'était pas tant que cela la bienvenue au sein de l'Ost.
Peut être est ce une nouvelle fois une crainte de se voir exposé à nu face à d'autres instances du duché ? Est ce une crainte que l'on ébruite vos faiblesses ou que l'on révêle vos honneurs et les soulignes ?

Lissandril était revenu mais ne s'attarda pas auprès du Duc. Décidemment, certaines fillières sont plus rapides que d'autres se dit le Duc.

Kalwynn salua le Duc avec le respect dû à une personne de ce rang, puis se présenta à son tour :

Kalwynn, Grand Faucon de Gien. Pardonnez que je ne me sois point nommé, votre Grâce, et par ailleurs je pensais que votre connaissance apparemment pointue de notre Code Militaire vous aurait permis de déterminer mon grade au galon que je porte...

Une réponse qui frisait l'insolence, mais son interlocuteur semblait apprécier les joutes verbales... et très prompt à porter des jugements à l'emporte-pièce.

... quant à la Baronne de Sully, vous savez comme moi que je n'aurais nulle explication avec elle à ce sujet. Qu'importe que vous lui fassiez peur, il n'est nul besoin d'inspirer ce sentiment ici alors que vous venez honorer vos serments, si j'ai bien compris.

Kal se tut, laissant sa Grâce poursuivre la conversation avec le Capitaine Royal.

Et bien monsieur le Grand Faucon de Gien, sachez qu'aux dernières nouvelles votre nom n'est toujours pas gravé sur votre front.
Votre grade est une chose, votre nom et la politesse en sont d'autres.

Permettez moi d'ajouter que vous ne situez certainement pas qui je suis lorsque vous pensez que la Baronne de Sully puisse me craindre. Je suis le précédant Baron de Sully et si elle jouis de cette terre, ce n'est que parce que j'en ai donné mon aval en récompense de ses services pour le Duché.

Je ne viens pas non plus comme je l'entends murmurer pour chercher les honneurs d'un grade au sein de l'Ost, je suis le Fils du regretté Fauville de Chéroy, Pair de France, Surintenant des Finances, Duc d'Orléans, Comte d'Armagnac et Comminges, Duc du Dunois, Baron de Montfort les Gesnois, Baron de Sully, Chevalier de l'Ordre de Mathusalem, Seigneur de Chéroy et écuyer de l'Ordre Royalde Saint Ouen. Aussi, je sais qu'il me sera assez difficile voir impossible d'égaler son parcours. La seule raison de mon investissement en Orléans est de perpétuer le serment que mon père a fait de toujours servir le Duché. Si aujourd'hui, je suis noble c'est de par ses actes en effet, mais à travers moi, c'est lui qui continue à servir le Duché. J'ai déjà suffisemment d'honneur si je me présentais c'était pour servir le duché à travers son Ost.

Petite preuve complémentaire de l'implication de ma famille au sein du Duché et de son Ost si besoin en est. Connaissez vous beaucoup de personnes pour lesquelles il existe des passages souterrain directs entre leurs domaines et la caserne et le château ? Regardez bien les cartes à l'Ost et vous constaterez. Scrutez bien, mais utilisez plutot vos doigts (souris) plutôt que de vous fier uniquement à vos yeux.

Elle l’écouta et fit la moue .Tient en deux mots il l’avait bien remis à sa place. Elle allait lui répondre mais voila que Kalwynn intervenait et que le capitaine royal aussi..
Elle ne pouvait laisser cet attroupement devant la porte et Intervint à son tour

Votre grâce Alexandre oui je crois vous connaitre, et d’ailleurs ce serait mieux pour nous

Sourire un tantinet moqueur

Mais je crois que je n’aurai pas du employer le mot peur .Ce n’est pas peur que vous faites, juste une apparition qui moi me ravie mais dérange .Si la noblesse prend enfin sa place comme cela devrait être,enfin ce sera une bonne chose .

Elle le regarda bien en face

Non ici il n’y a pas de pleutre, ni personne qui manque courage.Chaque soldat ne rechigne pas au combat et à manger que le strict minimum et rester des mois sans soldes

Puis se tournant vers kalwynn

Kalwynn ,je sais bien que je ne chante pas à tue tête que je suis baronne mais c’est moi la baronne de Sully et Alexandre ne me fait pas peur en aucun cas .

Puisque la capitaine royal, invitait Alexandre pour une discussion plus approprié que devant la porte de la caserne.
Elle s’approcha de lui

Vous voulez bien me suivre votre grâce dans un salon plus approprié qui lui aussi trouvera écho.
Mais qui sera bien mieux qu’un attroupement devant la porte.

Elle lui ouvrit le chemin.

Alexandre décela bien le ton dans la voix de Kalimalice, mais il préféra ne pas relever afin de ne pas lui faire perdre son crédit devant l'assistance.

Je suis heureux que ma présence vous ravisse, ce sera là l'occasion de mener une aventure de plus l'un à coté de l'autre.
Le duc sourit lorsqu'il entendit Kalimalice affirmer haut et fort qu'elle était la Baronne de Sully. C'était là une bonne chose que chacun sache sa valeur et maintenant son rang social. Surtout qu'elle était promise à moyenne échéance à devenir Duchesse.

Puisque vous me le proposez si gentillement maintenant, allons nous installer ailleurs. Je vous laisse me montrer la voie.
Il est bien dommage dans ce Duché qu'il faille hôter le ton pour que les choses avances. Je vois que les choses n'ont pas vraiment changé depuis le temps. Mais, je retiens la leçons.

Messire le Duc, je ne suis pas votre porte clef, mais le commandant de l'Ost orléannais, je pense être resté correct avec vous, aucun noble n'a jamais en ce lieu parlez comme cela a un Capitaine Royal!

Tous ici respect les gens qu'elle qu'il soit.
Et pour votre gouverne sachez que personne ne s'est jamais empressez de venir a la cavalerie !!

Maintenant si vous voulez vous engagez pas de soucis, mais pas besoin de criez , je n'aime pas cela du tout!!

Je me doute bien vu vos galons que vous n'êtes pas le concierge de ces lieux. Mais vu que vous ne vous étiez pas présenté, ... j'ai fais avec les éléments que j'avais sous la main.

Si personne jusque là ne s'était enrolé spécifiquement dans la cavalerie, réjouissons nous que cela prenne enfin corps.

Je n'aime pas forcément crier mais c'est parfois la seule manère de faire bouger les chose. Tout comme la diplomatie verbale ne règle pas tout et que l'on doit parfois faire appel à des gens comme vous justement pour débloquer les choses.

Lissandril revint au bureau des inscriptions. Brazen et Benjam attendaient leur réponse et le Connétable s'approcha d'eux, le sourire aux lèvres.

Soyez tous deux les bien venus au sein de l'Ost recrues. L'Etat-Major a validé votre candidature. Je vous invite à vous rendre en salle d 'enseignement, nous allons commencer votre formation.

Brazen sourit. Il attendait cela depuis bien longtemps...

Merci Connétable Lissandril ! Je vous suis.

merci beaucoup

Nombre de messages : 1 Localisation RR : Gien Date d'inscription : 25/08/2011

Suite a la réception de la lettre du Duc d’Orléans Linconnue toujours fidèle a ça franchise légendaire lui fit remarqué qu’il serait pertinent de faire du recrutement en cas de guerre. Ok longue explication juste pour dire qu’elle voulait entrer dans l’armée et là elle avait une occasion en or pour ce faire. Elle arriva d’un calme tout aussi légendaire « toussement » ok elle était loin d’être une fille calme mais elle arriva cette journée la aussi calme que ces capacités le pouvaient.

C’est en couleur, avec le sourire ouvert jusqu’aux lèvres qu’elle pénétra dans le bureau du recrutement.

Bonjour, je suis Linconnue de Gien et j’aimerais mettre mes maigres bras au service de cette armée.

Elle attendit patiemment que quelqu’un lui répondre et lui donne les indications à suivre.

Bonjour Dame, je suis William_wallace Capitaine Royal bienvenue , le Connétable va vous recevoir.
Bravo vous ne manquez pas de courage et êtes prête a défendre votre Duché.